La liste de matériel
NOMS |
ILLUSTRATION |
FONCTION |
1x caméra JVC GY-HM150 |
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Enregistrer image (Format 16/9 – 25i/s) et son (24bits - 48kHz) |
1x trépied |
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Fixer la caméra pour un cadrage fixe |
1x Azden FMX-42u |
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Mixette pour amplifier en niveau mic et avoir un meilleur signal |
1x Sennheiser K6 ME66 |
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Micro perche hypercardioïde pour les interviews |
2x Sennheiser K6 ME64 |
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Micros cardioïde pour faire un couple stéréo ORTF pour les prises d’ambiances |
1x Shure WL93 |
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Ajouter de la proximité dans la voix des interviewés |
1x casque |
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Écoute pendant le tournage |
2x Rycote + 2x windjammer |
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Protéger du vent et des bruits dû au mouvement de perche |
1x perche |
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Fixer et utiliser le micro perche |
2x pieds K&M |
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Fixer le couple stéréo |
4x câbles XLR |
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2 câbles de 5m + 2 câbles de 2m |
2x mandas + 2x pied |
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Éclairage du sujet interviewé |
1x light panel + 1x pied |
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Éclairage non appoint pour l’interview |
Les synoptiques de câblages
Interview
Ambiance
Les schémas d'implantation
Interview
Ambiance
La mise en oeuvre
Préparation
Après avoir pris contact avec le président de l’entreprise pour déterminer le jour de tournage, j’ai commencé par faire des recherches de références pour ensuite écrire ma note d’intention. J’ai également commencé à faire le site internet pour ne pas avoir tout à faire à la fin et rendre le sujet sur le blog. Il a fallu ensuite penser au matériel et pour cela je suis allé au Créa à Rennes 2 pour réserver et donner ma liste. J’ai ensuite demandé son aide à Loïc Pichard pour le jour du tournage avec le matériel et les questions pour les interviews. Pour préparer au mieux les interviews, j’ai effectué des recherches sur les meilleures manières de les mener et sur les questions à poser. Pour pouvoir me concentrer sur les réglages et les plans à tourner, j’ai préparé une série de questions (ci-dessous) qui a également permis à Loïc de mener à bien les 4 interviews. Par rapport à mes intentions, j’ai également préparé un tableau (cf p.3 ci-dessous) récapitulant tous les plans que je souhaitais tourner pour ne pas en oublier. Enfin, j'ai réalisé mes synoptiques et schémas d'implantation pour m'imaginer la configuration du tournage.
Tournage
Le jour du tournage arrivé, la première chose à faire a été d’aller récupérer le matériel réservé une semaine à l’avance au Créa. J’avais demandé de pouvoir le prendre à 9h pour être le plus tôt possible à Vitré et avoir un maximum de temps pour tourner tout ce que j’avais prévu. Cependant, quand je suis arrivé ce n’était pas prêt. Apparemment, la mixette avait été empruntée la veille et il fallait aller la récupérer au PNRV. C’est qu’après m’avoir fait attendre 20 minutes que l’on m’a annoncé que ça n’allait pas être possible de l’emprunter parce qu’elle était utilisé pour un cours et qu’il y avait eu « soit disant » un bug informatique dans leur logiciel de réservation. En plus, il n’avait pas l’air d’avoir très bien compris la nature de ma demande parce qu’en cherchant une solution ils m’ont proposé de remplacer la mixette par une table de mixage. Enfin pour l’éclairage, j’avais demandé un light panel mais je me suis retrouvé avec un petit qui était censé se fixer directement sur la caméra et qui n’avait plus de batterie. J’ai aussi pensé que les sacs de mandarines contenaient des gélatines et diffuseurs mais pas le mien. Au final, après avoir répété ce que j’avais réservé, j’ai quitté Rennes à 10h pour rejoindre l’équipe FAKT pour démarrer le tournage. Ce premier problème m’a demandé de l’adaptation et c’est pour cela que j’ai dû revoir mon synoptique de câblage (ci-dessous).
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Ensuite, après avoir rejoint l’équipe et fait connaissance avec ceux que je ne connaissais pas, on s’est mis d’accord sur l’organisation de l’interview. J’ai décidé de les interviewer un par un et j’ai posé à chacun toutes les questions personnelles que j’avais prévues. J’ai ensuite réparti les questions générales sur l’entreprise (flèches vertes sur le pdf de préparation) pour ne pas perdre de temps pour le reste du tournage. J’ai décidé de les placer dans le canapé avec un poster en fond et Loïc m’a ensuite aidé pour le positionnement de la caméra et l’installation des projecteurs. J’ai porté attention à cette étape car je voulais avoir le sujet bien éclairé mais je pense avoir des progrès à faire en vue du résultat. Je n’ai pas réussi à supprimer les ombres et j’aurais dû projeter sur les murs. Pour le paramétrage de l’enregistrement de l’image sur la caméra, je l’ai réglé en 1920x1080 HQ en 25p et pour le son en 48kHz/24bits. En support d’enregistrement, j’avais pris 2 cartes SD de 16 Go, ce qui a été juste car elles étaient pratiquement pleines à la fin des interviews. Après avoir réglé la lumière, j’ai dû paramétrer l’image. Je me suis rendu compte que cette caméra ne possédait pas de bague pour l’ouverture du diaphragme. Compte-tenu de la luminosité, j’ai dû actionner le filtre en plus d’un gain au minimum. Pour la mise au point, je zoomais sur les yeux du sujet pour ensuite la régler avec la bague de focus. Cependant, je pensais avoir le point à chaque fois mais après dérushage je me suis rendu compte qu’il était fait sur les écritures du poster. Je pense que c’est le petit moniteur qui m’a trompé. Idem pour les zebras, il n’y en avait pas sur les visages mais au final ils étaient quand même surexposés. Finalement, je suis très déçu de mes images d’interviews car je pensais avoir un meilleur résultat.
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Pour le son, je suis donc directement rentré sur les préamplis de la caméra. Cependant, j’ai préféré utiliser les piles pour l’alimentation phantom du micro statique afin de garder de la batterie. D’autant plus que je pouvais brancher la caméra sur secteur mais cela générait un buzz pour le son. Avec deux batteries à disposition, j’ai eu assez d’autonomie pour tout le tournage. Pour les micros, j’ai choisi d’utiliser la capsule hyper-cardioïde car je n’aimais pas le son de la pièce que captait la cardioïde. Le micro-cravate m’a permis de rajouter de la proximité aux voix. J’ai porté attention aux réglages des gains pour avoir le meilleur rapport S/B. Au niveau de positionnement de la perche durant l’enregistrement j’ai dû m’adapter. L’éclairage que j’ai choisi faisait apparaître facilement l’ombre de la perche dans le cadre alors que je voulais prendre les voix du plus proche possible. Il a également été difficile d’assurer les 2 heures d’enregistrements sans dépasser la limite du cadre et c’est pour cela que l’ombre de la perche apparaît souvent. Ensuite, comme des prises de son d’ambiances stéréophoniques étaient demandé et que je n’avais pas de barre de couple (ni au Créa, ni à Sono West), j’ai pris 2 pieds de micros et un autre micro K6 pour essayer de faire un couple ORTF et AB. J’ai donc effectué 3 prises : local FAKT, extérieur FAKT et centre-ville de Vitré (ci-dessous). Pour les mises en scènes, même si le plus important était la qualité de la prise de vue, j’ai choisi d’utiliser le micro cardioïde pour rajouter de la vie à la bande son au cas où il en manque. Enfin, pour l’image, le plus compliqué à gérer a été de tourner les plans de Vitré la nuit sous la pluie. Pour toutes les mises en scènes, j’ai essayé tant bien que mal de rester fluide sur les mouvements de caméra.
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Montage
Avant de commencer le montage, j’ai d’abord dérushé tous les fichiers et je les ai triés dans un dossier par type de plan. J’ai ensuite visionné toutes les interviews pour noter les questions auxquelles ils avaient répondu en ajoutant une note par qualité de réponse. Cette tâche a été importante car je me suis retrouvé avec 2h d’enregistrement d’interview pour au final en utiliser que 3min. J’ai donc dû choisir de n’utiliser aucunes réponses personnelles par manque de temps. J’ai aussi choisi de regrouper les questions générales par thèmes. Il a également fallu penser à la voix off qui était une des contraintes demandés. Je l’ai donc utilisée pour présenter l’entreprise, ses acteurs et leurs projets futurs. Je souhaitais avoir une voix féminine pour changer des 4 voix de l’équipe FAKT et c’est donc ma conjointe qui a accepté de se prêter au jeu. |
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Ainsi, j’ai choisi d’utiliser Adobe Premiere Pro CC 2015 comme logiciel pour cette première expérience de montage. Je connaissais également DaVinci Resolve que j’avais utilisé pour des petits exercices mais je le trouvais moins complet que Premiere. J’ai découvert un logiciel agréable à manier, contenant toutes les fonctionnalités que j’avais besoin. Après avoir créé la session, j’ai commencé par importer les interviews. C’est dans ce chutier (à gauche) que je pouvais gérer les médias que j’importais ou créais. J’ai donc découpé dans chaque interview tous les passages que je souhaitais avoir pour les regrouper ensuite par thèmes en couleur. Cela m’a permis de visualiser le temps qu’allait prendre chaque partie. Devant durer 4 minutes maximum hors générique, le plus difficile a donc été de gérer le temps sachant qu’il fallait prévoir du temps entre les parties pour les questions puis également pour l’introduction et la conclusion de la voix off. Après avoir trouvé mes thèmes, j’ai écrit et enregistré cette voix off. Ce qui m’a permis de commencer la séquence d’introduction où j’ai choisi de placer les plans de Vitré. C’est ici que j’ai pu travailler avec la musique car je voulais rythmer mon ossature pour la rendre dynamique. Au début du projet j’avais pour intention d’utiliser la musique « Parade » de Rone et je l’ai gardé comme je trouvais qu’elle fonctionnait très bien. Ce qui fonctionne moins bien avec cette introduction c’est qu’on ne voit pas directement le logo ou local de FAKT, ainsi que son équipe alors que la voix off est en train de les introduire pendant 30 secondes. C’est un choix purement esthétiques que j’ai fait. C’est aussi pour cela que l’on démarre directement sur des questions, puis la réponse. |
D’ailleurs, je trouve que le temps que j’ai laissé pour les questions est un peu trop court ce qui peut perdre le spectateur dès le début. D’autant plus que j’ai choisi de regrouper deux questions par partie pour ne pas trop découper le sujet. Ensuite, dès que j’ai trouvé le début, j’ai d’abord souhaité trouver la fin. Je voulais placer deux mouvements, deux caméras pour accompagner la voix off avant le générique, sachant que j’avais pour idée de mettre la musique « I, Philips » qui est plus lente que la première. |
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Comme je voulais utiliser le temps maximum de 4’10’’, j’ai placé cette séquence de conclusion avant d’en arriver là. Normalement c’est déconseillé de commencer par la fin mais cela m’a permis de voir le temps que je pouvais prendre par partie et ce que je ne pouvais pas garder. Avec les séquences d’introduction, de questions et de conclusion, j’avais environ 1 minute déjà prise. Il me restait peu de temps pour placer ce que j’avais prévu en interview. J’ai donc trouvé le moyen qui était d’alterner les paroles lorsqu’ils évoquaient le même sujet. D’autant plus que cela donne du dynamisme sans trop perturber. En revanche, j’ai dû couper tous les blancs pour gagner du temps, ce qui est, je trouve, perturbant. On retrouve ce genre de montage dynamique sur les vidéos des youtubeurs mais pas sur les reportages télévisés. De plus, j’ai essayé de réduire les bugs d’expressions quand un des interviewés butait sur un mot. |
Cela m’a demandé d’être minutieux au montage son mais de l’anticiper au montage image en ajoutant un plan de coupe pour gommer la coupure de la correction. Ensuite, il y a le travail des transitions qui m’a également pris du temps. En effet, je voulais faire un effet attrayant pour les transitions entre les plans de la séquence d’introduction, le « smooth zoom » (ci-dessus). Mais il y a aussi le titrage où j’ai choisi de reproduire le même type que ceux du reportage de France 24. La prise en main de la fenêtre d’édition n’a pas été très difficile (à droite). J’ai trouvé le moyen de les faire rapidement en dupliquant un modèle sans oublier de nommer chaque titre pour m’y retrouver. |
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Après avoir placé les effets, les titres et les plans de coupes, il ne me restait plus qu’à faire les corrections colorimétriques. Cependant, pour cette étape, j’ai attendu de faire le montage et mixage son. Ce n’est qu’après avoir importé le PAD son au même time code que je me suis initié à l’étalonnage. Je n’ai jamais eu de cours complets sur cette discipline et j’ai donc dû me fier aux schémas et mes yeux sur un écran pas étalonné. C’est pour cela que j’ai eu des surprises quand j’ai regardé le rendu de mes images sur des écrans différents du mien. J’ai surtout choisi de régler l’image de l’interview de François où l’éclairage et les couleurs étaient complétement différents des autres. Hormis la correction colorimétrique, j’ai également essayé de rendre plus net certaines images où le point était mal fait sans trop rajouter de grain. |
J’ai également stabilisé certains plans à l’épaule pour la retranscription de l’atmosphère planante que je souhaitais. Enfin, pour l’export final, j’ai transcodé la vidéo en H.264 avec une résolution de 1920x1080 en utilisant la qualité de rendu maximal. Pour le son, avec un taux d’échantillonnage de 48kHz en stéréo, pour un format AAC avec un débit de 320kbits/s. Je me retrouve donc avec un fichier mp4 de 306Mo. |
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Post-production son
Avant de commencer le travail de la bande son sur Pro Tools 12, j’ai exporté le montage sur Premier en AAF avec des poignets de 4 images (100ms) pour et la vidéo en QuickTime HQ. Après l’avoir importé sur le logiciel de post-production son, j’ai commencé par paramétrer ma session. J’ai ainsi réglé le moteur de lecture qui était ma carte son Focusrite Scarlett 6i6 pour 512 échantillons en 48kHz. Ensuite, j’ai paramétré les bus que j’utiliserai : C/R (sortie master), REC, MIX, SG Zic, SG Amb et SG Vx. Cela m’a permis de commencer à organiser ma session. Je voulais pouvoir traiter les voix de chaque interviewé différemment. Je les ai donc séparées dans des pistes distinctes et assignées au bus SG Vx en plus de la voix off. |
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Pour les ambiances, j’ai placé l’ambiance stéréo de la pièce d’enregistrement des interviews sur une piste pour ensuite travailler les enchaînements avec les ambiances stéréo liées à l’image sur une autre piste. Pour la musique, j’ai procédé de la même manière. Après avoir organisé toutes mes pistes j’ai fait le rooting. J’ai assigné les bus « SG » au bus « MIX » que j’ai ensuite affecté au bus « REC » avant de l’attribuer à la sortie control room (C/R). Suite à l’organisation et le paramétrage de la session, j’ai commencé par importer et placer les sons manquants (voix off et ambiances). J’ai ensuite fait un premier réglage de niveaux avant commencer le nettoyage. L’étape la plus longue a été la remise en phase du micro-cravate avec le micro perche. J’ai également porté attention au synchronisme labial. |
Ensuite, après avoir remis en phase les voix, j’ai travaillé les fondus pour rendre plus souple la bande son. Pour la musique, j’ai fait des automations de volumes pour garder les voix intelligibles et rendre le montage dynamique en augmentant le niveau lors des transitions sans paroles. J’ai aussi fait une automation sur un EQ passe-haut pour couper les basses fréquences de la musique pendant les temps de paroles et pour les remettre lorsqu’on en sort. |
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Ayant terminé le montage son, j’ai pu commencer le mixage par la plus importante et longue tâche, le traitement des voix. J’ai souhaité laisser le micro-cravate pour garder de la présence. J’ai commencé par baisser son niveau et le rehausser jusqu’à trouver le point d’accroche. Après j’ai souhaité garder les graves du cravate et les aigus de la perche. J’ai donc fais des tests d’EQ jusqu’à que ça me convienne. Pour le nettoyage fréquentielle, j’en ai légèrement fait sur la perche car les prises de sons me convenaient. Ensuite, j’ai appliqué un De-esser pour atténuer les sifflantes entre les 6kHz et 7kHz. Enfin, j’ai légèrement compressé les voix pour l’intelligibilité. Pour la voix off ça a été plus compliqué. J’ai demandé au Créa s’il prêtait des micros à condensateur large membrane mais apparemment non. J’ai donc enregistré cette voix off avec mon micro Shure SM 58. C’est pour cela que le traitement a été plus long car je voulais avoir le meilleur résultat possible. Après avoir trouvé l’EQ et la compression qu’il me semblait pas trop mal, j’ai essayé de travailler une légère reverb avec le plug-in Altiverb 7. |
Enfin, j’ai inséré le plug-in Nugen VisLM-H afin de faire le mix des niveaux pour la mise aux normes. Comme, en l’écoutant, le mix me paraissait clair mais un peu fort (-21 dB LUFS), j’ai ajouté des EQ 1 bande sur les pistes des SG pour atténuer de 2dB le niveau d’entrée. Pour ce qui est de l’export, j’ai respecté la norme EBU R128 avec une moyenne avoisinant les -23 dB LUFS ; ±0.5 dB LUFS ; -1dBTruePeak (limiter) ; et une dynamique maximum de 20dB. Pour ce faire, j’ai réalisé un REC normalisé et maximisé -0,1 dB FS. Après ça, je n’avais plus qu’à importer le fichier PAD sur Premiere pour l’étalonnage et l’export final. |
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Conclusion / Écarts note d'intention
Pour conclure, je trouve que le résultat final fait bien reportage façon sujet JRI. Je pense avoir révélé la personnalité des 4 copains de l’entreprise FAKT et leur ouvrage. Ce projet m’a permis de faire des progrès en tournage pour l’image et en post-production pour le montage. Cela m’a également permis de montrer le contexte de la situation. En revanche, j’ai passé trop de temps en tournage et en post-production. Cela m’a permis d’avoir toutes les images que je souhaitais et d’avoir un montage dynamique qui respecte le temps maximal de 4’10’’. Si je suis de nouveau amené à faire un sujet de ce type, j’espère que le temps passé sur ce projet va me permettre d’être plus efficace pour la suite.
Pour un bilan technique, je n’ai pas réussi à avoir toutes les images nettes, surtout pour les interviews alors que c’était les images les plus importantes. Cela a également été difficile pour les images de nuit. Par contre, je pense avoir réussi à avoir des mouvements de caméra fluide, même si j’ai triché en montage pour ramener de la stabilité dans ces images. Au son, je suis parvenu à avoir les voix intelligibles, sans parasites et avec un bon rapport S/B. Je pense que le montage son va aider le spectateur à ne pas se perdre tout en s’évadant grâce à l’ossature dynamique et le choix musicale. Enfin, je pense avoir respecté mes intentions de départ. Je pense être parvenu à mettre en valeur l’entreprise. J’ai encore des progrès à faire et surtout pour l’image, la lumière et le montage même si ce projet m’a permis d’évoluer.